Je m'attendais à ajouter bien des choses en cette journée "printanière" puisque je guidais une excursion de mon club. Au menu, les abords de la rivière Richelieu, de Saint-Jean jusqu'à Lacolle. Je dois constater que le rude hiver a été probablement fatidique pour bien des oiseaux et que l'hiver qui continue de s'accrocher empêche les oiseaux de remonter vers le nord. C'était bien visible avec l'absence totale de bernaches et d'oies tout le long du Richelieu. La seule manifestation de l'arrivée du printemps, ce fut le passage, à l'occasion, de groupes de Goélands à bec cerclé. La journée a été gâtée par des averses de neige (par chance, pas d'accumulation au sol). Beaucoup de kilométrage pour seulement quatre espèces supplémentaires (256.3 km). Il fallait d'abord que je me rende à Saint-Jean ce qui me faisait un bon 135.4 km. Puis notre trajet à travers Sabrevois, Henryville, Noyan, Lacolle et Saint-Paul-de-l'Ile-aux-Noix a ajouté un autre 120.9 km. Rien de très rares parmi les quatre espèces ajoutées; j'aurais très bien pu finir par les voir dans les prochains jours ou durant une excursion future.
C'est à Sabrevois que j'ai ajouté la première espèce, l'Alouette hausse-col (#39). Je m'attendais à voir des petits groupes mais non. Quatre individus, chacun ayant son territoire et chacun semblant déjà chanter pour le défendre. C'est vrai que les alouettes nichent tôt... mais pas pour bientôt, j'en ai bien peur! J'ai essayé de prendre des photos à travers mon télescope mais je n'arrive même pas à retrouver l'alouette sur le cliché. J'aurais dû zoomer et faire un meilleur focus.
Deux autres espèces ont été trouvées lors d'un arrêt chez la ferme Deland-Fabry à Henryville. Grâce aux mangeoires qu'Isabelle maintient chez elle, plusieurs oiseaux ont pu être vus là. C'est sans doute ce qui a permis d'y voir un Bruant chanteur (#40) et un Carouge à épaulettes (#41) dans un groupe d'Étourneaux sansonnets. D'autres membres du club ont vu plus qu'un carouge mais moi j'ai arrêté de chercher tout de suite après avoir vu mon premier. De toute façon, le groupe d'oiseaux s'est envolé au passage d'une voiture.
Finalement, c'est lors d'un court passage au rang de la Barbotte à Lacolle que j'ai ajouté mon #42: la Mésange bicolore. Je ne l'ai pas vue cependant. J'ai juste entendu deux individus chanter. J'aurais bien l'occasion d'en revoir plus tard au cours de l'année.
Et ce fut tout pour les nouveautés. La semaine prochaine, ce sera l'Assemblée générale du club et je suis en train de me demander si je devrais mettre du temps à chercher des oiseaux, soit avant, soit après l'assemblée. Tout va dépendre de la météo. L'hiver ne veut pas s'en aller... zut.
C'est à Sabrevois que j'ai ajouté la première espèce, l'Alouette hausse-col (#39). Je m'attendais à voir des petits groupes mais non. Quatre individus, chacun ayant son territoire et chacun semblant déjà chanter pour le défendre. C'est vrai que les alouettes nichent tôt... mais pas pour bientôt, j'en ai bien peur! J'ai essayé de prendre des photos à travers mon télescope mais je n'arrive même pas à retrouver l'alouette sur le cliché. J'aurais dû zoomer et faire un meilleur focus.
Deux autres espèces ont été trouvées lors d'un arrêt chez la ferme Deland-Fabry à Henryville. Grâce aux mangeoires qu'Isabelle maintient chez elle, plusieurs oiseaux ont pu être vus là. C'est sans doute ce qui a permis d'y voir un Bruant chanteur (#40) et un Carouge à épaulettes (#41) dans un groupe d'Étourneaux sansonnets. D'autres membres du club ont vu plus qu'un carouge mais moi j'ai arrêté de chercher tout de suite après avoir vu mon premier. De toute façon, le groupe d'oiseaux s'est envolé au passage d'une voiture.
Finalement, c'est lors d'un court passage au rang de la Barbotte à Lacolle que j'ai ajouté mon #42: la Mésange bicolore. Je ne l'ai pas vue cependant. J'ai juste entendu deux individus chanter. J'aurais bien l'occasion d'en revoir plus tard au cours de l'année.
Et ce fut tout pour les nouveautés. La semaine prochaine, ce sera l'Assemblée générale du club et je suis en train de me demander si je devrais mettre du temps à chercher des oiseaux, soit avant, soit après l'assemblée. Tout va dépendre de la météo. L'hiver ne veut pas s'en aller... zut.
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